De Bogotá jusqu'aux fincas kogis, le tournage continue...
Nous avons réalisé cette deuxième montée dans la Sierra cette fois à 6 personnes et un peu mieux équipés. En attendant le mois de juin, c'était l'occasion d'en découvrir les préparatifs "festifs" dans une finca kogi voisine et également d'écouter un de leurs sages ("mama mayor") nous parler du sens de cette fête annuelle, aux dimensions sociale et sacrée. Mais c'est aussi dans un café de Bogotá, la capitale colombienne, que nous avons rencontré la chercheuse Carolina Ortiz, ethnolinguiste spécialiste en langue et culture kogi, le temps d'une interview.
Début de tournage dans la Sierra
Du 16 au 19 février, Jimmy et moi, avons effectué la première montée dans la Sierra Nevada aux villages de Tungueka et Yinkuamero avec deux personnes de l'association Seineken, en charge du tournage. C'était aussi pour eux l'occasion d'avoir une premi}ere rencontre avec ces paysages magnifiques avec les kogis et de prendre des premières vidéos et des premiers enregistrements sonores. Il y aura, a priori une ou deux autres montées de ce type avant la montée pour le tournage de la fête du soltisce. Le contact a été beau et fort...
Terminée
Ce projet a été terminé le 01/06/2017.
6 soutiens
Extraits vidéos et photos en avant-première
Les donateurs contribuant à partir de 20 € recevront des extraits vidéos et photos en avant-première, via un lien Internet.
3 soutiens
Tee-shirt "La Semilla"
Les donateurs contribuant pour un montant supérieur ou égal à 100 € recevront un Tee-shirt de "La Semilla".
Modèles homme ou femme, taille S, L, ou XL, en francais ou en espagnol
0 soutien
Sac kogi : tisser la pensée
Les contributeurs ayant effectué des dons à partir de 200 € recevront un sac tissé à la main par les indiens kogis. Ces sacs en coton ou en "fique" (plante native) représentent de deux semaines à un mois de travail. Tissés par les femmes, ils représentent avant tout un travail "spirituel", la personne qui le réalise s'attachant à garder une concentration et à prendre soin de ses pensées pendant l'ouvrage. Ce sont des sacs "sans coutures", le fil partant d'un point central qui symbolise l'origine et se déroulant ensuite en spirale.
Si en Colombie et en particulier à Santa Marta, il est assez facile d'acheter des sacs tissés par les indiens wayus et arhuacos, les sacs kogis sont quasiment introuvables. Nous les obtenons par le troc, directement auprès des kogis que nous visitons. Cha
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De Bogotá jusqu'aux fincas kogis, le tournage continue...
Nous avons réalisé cette deuxième montée dans la Sierra cette fois à 6 personnes et un peu mieux équipés. En attendant le mois de juin, c'était l'occasion d'en découvrir les préparatifs "festifs" dans une finca kogi voisine et également d'écouter un de leurs sages ("mama mayor") nous parler du sens de cette fête annuelle, aux dimensions sociale et sacrée. Mais c'est aussi dans un café de Bogotá, la capitale colombienne, que nous avons rencontré la chercheuse Carolina Ortiz, ethnolinguiste spécialiste en langue et culture kogi, le temps d'une interview.
Début de tournage dans la Sierra
Du 16 au 19 février, Jimmy et moi, avons effectué la première montée dans la Sierra Nevada aux villages de Tungueka et Yinkuamero avec deux personnes de l'association Seineken, en charge du tournage. C'était aussi pour eux l'occasion d'avoir une premi}ere rencontre avec ces paysages magnifiques avec les kogis et de prendre des premières vidéos et des premiers enregistrements sonores. Il y aura, a priori une ou deux autres montées de ce type avant la montée pour le tournage de la fête du soltisce. Le contact a été beau et fort...
Terminée
Ce projet a été terminé le 01/06/2017.
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Les donateurs contribuant à partir de 20 € recevront des extraits vidéos et photos en avant-première, via un lien Internet.
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Tee-shirt "La Semilla"
Les donateurs contribuant pour un montant supérieur ou égal à 100 € recevront un Tee-shirt de "La Semilla".
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Sac kogi : tisser la pensée
Les contributeurs ayant effectué des dons à partir de 200 € recevront un sac tissé à la main par les indiens kogis. Ces sacs en coton ou en "fique" (plante native) représentent de deux semaines à un mois de travail. Tissés par les femmes, ils représentent avant tout un travail "spirituel", la personne qui le réalise s'attachant à garder une concentration et à prendre soin de ses pensées pendant l'ouvrage. Ce sont des sacs "sans coutures", le fil partant d'un point central qui symbolise l'origine et se déroulant ensuite en spirale.
Si en Colombie et en particulier à Santa Marta, il est assez facile d'acheter des sacs tissés par les indiens wayus et arhuacos, les sacs kogis sont quasiment introuvables. Nous les obtenons par le troc, directement auprès des kogis que nous visitons. Cha