Description
Je m'appelle Patrice, j'ai 33 ans. Il y a quelques années de cela, j'ai décidé de changer d'orientation professionnelle. Soutenu par ma compagne et mes proches, je me suis lancé dans le maraîchage biologique. Un sacré pari car je ne suis pas du tout issu du monde agricole !
Après deux années de formation, j'ai eu la chance d'être épaulé pour démarrer mon activité sur la Côte d'Opale, à proximité du site des Deux-Caps.
Le Chênelet, association d'insertion, et un ami maraîcher bio m'ont mis à disposition un terrain et des serres afin que je puisse commencer une production de légumes en agriculture biologique. Avec des amis, nous avons ainsi passé l'hiver à préparer le terrain et re-bâcher les serres.
Chantier par - 4°C avec Justine et Louis, les irréductibles maraîchers bio
Les amis d'Arras venus m'aider en février. C'est ça aussi la courte échelle !
Passionné par le jardinage, la nature, la vie en plein air, j'ai la ferme conviction que nous devons opérer une transition dans nos modes de production et de consommation afin que les générations futures n'héritent pas d'une terre ravagée... Mon humble contribution à cela, c'est de produire des légumes en agriculture biologique dans une démarche écologique la plus cohérente possible.
Au delà de la production et de la vente, je souhaite inviter les gens à se réapproprier leur alimentation et à semer eux-mêmes. C'est pour cela que j'envisage d'ici deux à trois ans la mise en place d'ateliers pédagogiques pour les familles, les groupes scolaires et autres instituts spécialisés. J'aimerais donner aux autres l'envie de semer et s'émerveiller à leur tour.
Si mon projet devait se résumer en quelques mots :
Observer Apprendre Partager Produire Préserver Transmettre
Après plusieurs mois, le travail commence à porter ses fruits (ou plutôt ses légumes) !
Avec l'aide de la famille et nos quelques économies, nous avons investi dans les semences, les premiers outils indispensables pour lancer la saison et aujourd'hui nous récoltons les premiers légumes. Afin de gagner en autonomie, en efficacité et en confort de travail, il faudrait que j'investisse aussi dans un motoculteur et un véhicule utilitaire. C'est pour cela que je lance une campagne de financement participatif.
Par avance un grand merci pour votre soutien !
Récolte des premiers légumes :)
Le porteur de projet
Moniteur éducateur de formation initiale, j'ai entamé une démarche de reconversion il y a deux ans en vue de m'installer comme maraîcher en agriculture biologique. J'ai ainsi obtenu un diplôme agricole en décembre 2017.
Aujourd'hui, je peux tester mon activité car j'ai croisé sur mon chemin des personnes bienveillantes qui m'ont fait confiance.
Tout d'abord Antoine, ami maraîcher, Anne-Gaëlle et Paul, de l'association Le Chênelet, Michel de la même association qui intervient avec le tracteur et les ânes. Mais également Aurore, de l'association À Petits Pas qui me soutient par le biais de la "couveuse", et Gaëlle qui nous a conseillée Marion et moi pour le lancement de la campagne par le biais de "Propulsons". Merci à la famille et tous les amis qui sont venus creuser les tranchées pour re-bâcher les serres ! La solidarité ça existe vraiment, d'ou le nom des jardins de la courte échelle...
Antoine, ami maraîcher installé à Saint-Inglevert
Marion, mon premier soutien dans cette aventure !
Les partenaires des Jardins de la courte échelle
What is my contribution for?
3000.00 €
6000.00 €
<div id="ProjectGoals"> <h2>What is my contribution for?</h2> <div class='project-goals'> <div class="project-goal"> <div class="project-goal-amount">3000.00 €</div> <div class="project-goal-content"> <h3></h3>
<p></p> </div> </div> <div class="project-goal"> <div class="project-goal-amount">6000.00 €</div> <div class="project-goal-content"> <h3></h3>
<p></p> </div> </div>
</div> </div>
Describe your project goal
Grâce au financement, je pourrais acheter un motoculteur et un véhicule utilitaire.
Premier Palier : 3 000 €
Le motoculteur me permettrait d'entretenir mes planches de culture, notamment pour les semis qui nécessitent une terre raffinée (carottes, mesclun...). Cela me faciliterait également la tâche pour déplacer des charges dans une remorque tel que du fumier, du compost ou encore pour récolter les pommes de terre avec une "lame souleveuse"...
Second palier : 6 000 € au total, soit 3 000 € supplémentaires
Le véhicule utilitaire me permettrait de transporter le motoculteur entre les deux terrains que je travaille. Il me servirait également à effectuer les livraisons des paniers bio, ainsi que pour le transport de matériel, des plants et des sacs de terreau.